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 figures de style

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figures de style Empty
مُساهمةموضوع: figures de style   figures de style Emptyالأحد 6 يناير - 14:18

Voici
les principales figures de style, classées par ordre alphabétique, que
vous allez sûrement rencontrer dans les textes littéraires que vous
avez à étudier. Cette liste non exhaustive est classée par ordre
alphabétique. En face de chaque terme, vous pouvez lire une définition
de la figure de style ainsi que, la plupart du temps, un exemple
littéraire ou non littéraire. Cette liste se limite aux figures de
style exclusivement (et ne s'étend pas au vocabulaire littéraire).
Qu’est-ce qu’une figure de style ?



C'est d'abord une manière de s'exprimer. Une figure
modifie le langage ordinaire pour le rendre plus expressif. Il existe
des figures d'analogie, d'animation, de substitution, de pensée,
d'opposition, de construction, de sonorités, d'insistance et
d'atténuation.



Allégorie (féminin) : Figuration d'une abstraction (exemples : l'Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant.

Allitération (féminin) : C'est la répétition de
sons identiques. À la différence de l'assonance, le terme
« allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemples :
« Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque, V, 5) ou encore « La chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas » (Desnos, Corps et biens, « Chanson de chasse »).

Amplification (féminin) : L'amplification se fonde sur une gradation succession d'idées ou de mots
de plus en plus forts
entre les termes d'une énumération ou dans la construction d'un paragraphe.

Anacoluthe (féminin) : L'anacoluthe est une rupture de construction. Exemple dans Athalie de Racine (Acte I, scène 4) : « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits / Et ne l'aimer jamais ? »

Analepse (féminin) : En narratologie, c'est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration.

Anaphore (féminin) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d'une phrase. Exemple dans Horace
de Corneille (acte IV, scène 6) : « Rome, l'unique objet de mon
ressentiment ! / Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! /
Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore ! / Rome enfin que je
hais parce qu'elle t'honore ! »

Antanaclase (féminin) : Une antanaclase est la
reprise d'un même mot avec un sens différent. Exemple : « Le cœur a ses
raisons que la raison ne connaît point. » (Blaise Pascal, Pensées, XXVIII)

Antiphrase (féminin) : Procédé qui consiste à
exprimer une idée par son contraire. L'ironie repose souvent sur
l'antiphrase. Exemple : « Tes résultats au bac sont vraiment
exceptionnels ! » dans le sens de « Tes résultats au bac sont vraiment
catastrophiques. » est une antiphrase.

Antithèse (féminin) : Une antithèse est un
procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, deux expressions, deux
mots opposés pour mieux faire ressortir le contraste. Exemple dans Ruy Blas de Victor Hugo (acte II, scène 2) : « [...] un homme est là / qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre, ver de terre amoureux d'une étoile [...]. »

Antonomase (féminin) : C'est une figure par
laquelle on remplace un nom commun par un nom propre, et vice-versa.
Exemple : « un Harpagon », pour désigner un avare, est une antonomase.
C'est aussi le cas lorsqu'on remplace un nom par une périphrase « la
capitale de la France » pour désigner « Paris ».

Aposiopèse (féminin) : Une aposiopèse (ou réticence) est une rupture dans la suite attendue des enchaînements de la phrase. Exemple dans L'Énéide
de Virgile : « Osez-vous, sans ma permission, ô vous, bouleverser le
ciel et la terre et soulever de telles masses ? J’ai envie de vous… !
Mais il faut d’abord apaiser les flots déchaînés… » (Chant I).
L'aposiopèse ne doit pas être confondue avec la suspension qui
n'interrompt pas mais retarde « vers la fin de l’énoncé l’apparition
d’une partie essentielle de l’énoncé. » (Source : G. Mounin, Dictionnaire de la linguistique, cité par D.I.T.L.figures de style Icon)

Assonance (féminin) : C'est la répétition d'une même voyelle dans une phrase ou un vers. Exemple dans Poèmes saturniens de Verlaine (« Mon rêve familier ») : « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant [...] ».

Asyndète (féminin) : C'est la suppression des particules de coordination dans l'ordre grammatical ou sémantique. Exemple dans Les Caractères
de La Bruyère (« Ménalque ») : « [...] Ménalque se jette hors de la
portière, traverse la cour, monte l’escalier, parcourt l’antichambre,
la chambre, le cabinet ; tout lui est familier, rien ne lui est nouveau
; il s’assit, il se repose, il est chez soi. ». La parataxe
est, quant à elle, une forme d'asyndète qui consiste à juxtaposer deux
propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de
subordination.

Catachrèse (féminin) : C'est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore une métaphore consiste à désigner
un objet ou une idée
par un mot qui convient pour un autre objet
ou une autre idée liés
aux précédents par une analogie.
C'est en fait une comparaison,
mais sans les termes de comparaison.

pour désigner un objet pour lequel la langue n'offre pas de terme
propre. On dit couramment que la catachrèse est une métaphore
lexicalisée. Exemple : « les pieds d'une table », « les bras d'un
fauteuil » ou encore « les ailes d'un avion » .

Chiasme (masculin) : On dit qu'il y a chiasme lorsque des termes sont disposés de manière croisée, suivant la structure A-B-B-A. Exemple dans Les Fleurs du Mal de Baudelaire : « Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon [...] » (« Le balcon »).

Comparaison (féminin) : Une comparaison est une mise en relation de deux termes à l'aide d'un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.).

Ellipse (féminin) : Une ellipse consiste à
omettre volontairement certains éléments logiquement nécessaires à
l'intelligence du texte. En narratologie, l'ellipse passe sous silence
des événements, ce qui accélère considérablement la narration.

Emphase (féminin) : L'emphase désigne tout ce qui permet de renforcer une image, une idée.

Énallage (féminin) : Une énallage est une figure
qui consiste à employer une forme autre que celle qu'on attendait. Il
peut s'agir d'un échange de pronom personnel, de mode, de temps ou d'un
genre à la faveur d'un autre.

Euphémisme (masculin) : L'euphémisme est une
figure très connue qui consiste à remplacer une expression littérale
(idée désagréable, triste) par une forme atténuée, adoucie. Exemple
canonique : « Il a vécu. » pour « Il est mort ».

Hypallage (féminin) : Une hypallage est une
figure qui attribue à certains termes d'un énoncé ce qui devrait
logiquement être rattaché à d'autres termes de cet énoncé. Exemple dans
Phèdre
de Racine (Acte IV, scène 1) : « Phèdre mourait, Seigneur, et sa main
meurtrière / Éteignait de ses yeux l'innocente lumière. » (pour « la
lumière de ses yeux innocents »).

Hyperbole (féminin) : L'hyperbole est une figure
très connue. Elle consiste à mettre en relief une idée au moyen d'une
expression exagérée. L'hyperbole est donc une exagération exprimée par
l'accumulation, par l'emploi d'intensifs ou par l'emploi de mots
excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole.

Hypotypose (féminin) : L'hypotypose est une
figure qui se fonde sur l'animation d'une description et qui est
destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose.
L'hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet.

Ironie (féminin) : L'ironie est une figure très
courante qui consiste à affirmer le contraire de ce que l'on veut faire
entendre. L'ironie repose essentiellement sur l'antiphrase, l'hyperbole
ou encore l'emphase.

Litote (féminin) : Une litote consiste à dire
moins pour suggérer davantage. La litote s'oppose à l'euphémisme.
Exemple : l'énoncé « Il n'est pas laid. » pour dire « Il est beau. »
est une litote.

Métaphore (féminin) : Selon C. Perelman, « la métaphore n'est qu'une analogie ressemblance, association condensée, grâce à la fusion du thème ce dont on parle et du phore comparant. [...] » [Cité par Info-metaphore.comfigures de style Lien-externe] Exemple dans Les Fleurs du Mal de Baudelaire :


Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux. [...]

Une métaphore est filée ou continuée quand elle est développée dans un texte.

Métonymie (féminin) : La métonymie consiste à
désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui qui lui
convient. La compréhension se fait grâce à une relation de cause à
effet entre les deux notions (exemple : « boire la mort » pour « boire
le poison »), ou de contenant à contenu (exemple : « boire un verre »
pour « boire le contenu d'un verre ») ou encore de partie à tout
(exemple : « une lame » pour dire « une épée »).

Oxymore (masculin) : L'oxymore est une alliance
de mots dont le rapprochement est inattendu. L'oxymore fait coexister
deux termes de sens contraire à l'intérieur d'un même syntagme groupe de mots formant une unité par son sens
et par sa fonction, à l'intérieur de la phrase
. Exemple dans Le Cid de Corneille : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles [...] » (acte IV, scène 3).

Parataxe (féminin) : La parataxe est l'absence de subordination entre les propositions.

Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à
employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à
peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu
parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui
se ressemblent par leurs sons).

Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d'un être animé (homme, animal). Cf. La Fontainefigures de style Lien-externe.

Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à
employer plusieurs formes grammaticales (genre, nombre, personnes,
modes, temps) d'un même mot, dans une phrase. Exemple dans l'Oraison funèbre d'Henriette-Anne d'Angleterre de Bossuet : « [...] Madame se meurt ! Madame est morte ! [...] ». Ou encore « Tel est pris qui croyait prendre. »

Prétérition (féminin) : C'est lorsqu'on affirme passer sous silence une chose dont on parle néanmoins.

Stichomythie (féminin) : La stichomythie est la
partie du dialogue, au théâtre, où les interlocuteurs se répondent vers
par vers. C'est en fait la succession de répliques de même longueur.

Synecdoque (féminin) : La synecdoque est le fait
d'assigner à un mot un sens plus large ou plus restreint qu'il ne
comporte habituellement. Exemple canonique : « Acheter un vison » pour
« Acheter un manteau fait en peau de vison ».
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مُساهمةموضوع: رد: figures de style   figures de style Emptyالأحد 6 يناير - 14:44

مشكوووووورة وموضوعك جميل
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